Anjou

partage tradition racines identité fierté passion amour simplicité naturel terroir partenaire conviction richesse avenir ... Partenaire Le Verger de la Blottière 49120 St Georges des Gardes L’HISTOIRE Le Verger de la Blottière a été créé au début des années 1960 au cœur de l’Anjou. Cette entreprise familiale participe ainsi avec d’autres producteurs au développement continu des vergers de pommes et poires du Maine et Loire. En effet La Blottière a su fédérer des producteurs partenaires avec les mêmes objectifs d’agriculture durable, de qualité et de service client. Fondée sur la passion des fruits, le Verger de la Blottière commercialise plus de 20 variétés de pommes et poires, choisies pour leur qualité gustative ainsi que pour leur résistance naturelle à de nombreuses maladies. LE SAVOIR-FAIRE Notre ambition est de proposer au-delà des capacités à produire des pommes et poires, une assurance de qualité et de disponibilité des fruits. Nous utilisons tout notre savoir-faire ainsi que la pointe de la technologie, de la plantation des arbres jusqu’à l’expédition des fruits, pour garantir aux consommateurs des fruits sains, sûrs et savoureux. Grâce à l’alliance formée avec la nature, le Verger de La Blottière a réussi à réduire fortement les interventions dans le verger tout en préservant la biodiversité naturellement présente dans ses éco-systèmes. Ainsi, en quelques années nous avons significativement réduit le recours aux intrants, mais aussi nos consommations de fioul et d’eau. FOCUS PRODUIT Rustique avec sa robe rouge orangée et ses marbrures, la pomme Antarès® est une récente variété produite en Val de Loire. Son goût, caractérisé par un excellent équilibre sucre- acidité dégage un savoureux parfum Reinetté. Délicieuse au couteau, elle peut aussi se cuisiner si l’on recherche un fruit parfumé. Elle allie subtilement la saveur des pommes d’autrefois et les réussites d’une recherche environnementale durable. En effet, cette pomme résiste naturellement à certaines souches de champignons nuisibles et limite donc naturellement le recours aux intrants phytosanitaires. page 35