Sarthe

Partenaire Pomme Gautier Lieu-dit « Le Tuffeau » 72 500 La Bruère sur Loir L’HISTOIRE En 1985, Charlie Gautier reprend l’exploitation sarthoise de son père alors créée en 1948. Il décide de se spécialiser dans l’arboriculture. Soucieux de l’environnement et de ses consommateurs, Charlie met rapidement en place des nouvelles techniques de production, tant au niveau des produits phytosanitaires qu’au niveau des technologies employées pour la traçabilité. En 1997, il développe son activité en faisant l’acquisition d’une nouvelle exploitation en Touraine, qui lui permet de doubler son nombre de pommiers. L’entreprise recense deux pôles, un à la production et l’autre au conditionnement où se trouve également la partie commerciale et administrative. Au début des années 2000 est réalisé une véritable montée en compétence et une mise aux normes complète. C’est aussi une période importante en termes d’innovation, puisque la pomme « Choupette » fait son apparition au sein de l’entreprise. Elle en devient l’ambassadrice. Il s’agit en effet d’une pomme résistante visite partage tradition racines identité fierté passion amour simplicité naturel terroir partenaire conviction richesse avenir ... à de nombreuses maladies, ce qui réduit considérablement les traitements. Elle porte donc haut les revendications chères à l’entreprise depuis toujours : la protection de l’environnement, la performance salariale et les innovations technologiques. Sur l’ensemble des entreprises, nous avons environ 19 salariés permanents en 2016. LE SAVOIR-FAIRE Avant toutes choses, Gautier s’engage à produire de bons fruits. Un panel de pommes variées par leur goût, leur texture et leur taux de sucre. Gautier se différencie des autres producteurs en ayant une réflexion concrète sur le pommier. Pour ceci, l’entreprise a fait l’acquisition de matériel de pointe encore rare en France, qui réduit par exemple de 30% l’utilisation de pesticides. Chaque parcelle est entourée de haies qui favorisent la prolifération d’insectes carnivores, de ravageurs, ainsi que de 197 nichoirs à mésanges qui viennent se nourrir des carpocapses, responsables de la destruction partielle de la pomme. page 57